Les représentants de l’Ecole de santé publique de Harvard ont avancé que les jeunes filles lesbiennes ou bisexuelles ont plus de chances d’avoir le cancer du col utérin que les femmes hétérosexuelles. Pourquoi cela ?
La recherche a démontré que les lesbiennes et les bisexuelles font moins attention à leur santé que les hétérosexuelles. Parmi les autres examens, elles font moins souvent le test nommé « Le frottis de dépistage » (le frottis cervico-utérin ou FCU) qui permet de prévoir la progression du cancer du col utérin, par la suite, elles se trouvent dans le groupe à risque élevé.
En 2005 le chef de la recherche Brittany Charlton a interrogé 4 224 femmes, âgées de 17–25 ans. 9% n’avaient pas de relations sexuelles dont 1% étaient lesbiennes. 22% des femmes bisexuelles ont annoncé qu’auparavant elles ont eu des infections sexuellement transmissibles (IST), parmi les femmes hétérosexuelles, ce pourcentage est équivalent à 11%, parmi les lesbiennes – 8%, écrit The Times of India.